assis sur un rocher,
j'observais le soleil se coucher.
un sentiment de désabu,
comme le dégout, d'avoir trop bu,
clanchait la porte de mon esprit.
qu'elle était donc cette pensée tenace ?
qu'elle était donc cette idée demandant place ?
une goutte de réflexion, sur un papier écrit.
ciel de nuit,
perçois-tu ma prière ?
seul le minuit
me compose une rose hélas déjà trop fière !
le mer m'envahit
et j'émets un cri.
on retrouvait mon cadavre
sur la plage du Havre,
sans que nul de ma mort ne se navre.
Alejandro